Quand Jésus rencontra le père Noël !
Le croiriez vous, le 24 décembre 2009 Philippe Louveau, curé de Sainte-Trinité du Perreux, écrivait:
Nous ne croyons pas au père Noël
qui récompense les enfants sages et punit les méchants.
Nous croyons en Dieu, notre Père,
qui aime tous les humains et veut les sauver.
Nous ne croyons pas au divin enfant
venu « de son père apaiser le courroux ».
Nous croyons au Fils de Dieu, notre frère,
qui nous révèle le vrai visage de Dieu,
nous promet la Vie, et nous donne sa mort comme une avance.
Nous ne croyons pas au sapin et à ses guirlandes
qui trône sur nos places et dans nos maisons.
Nous croyons en l’Esprit-Saint, le consolateur
qui nous invite à devenir nous-mêmes lumière du monde.
Mieux qu’une quinzaine commerciale,
voici le moment favorable.
Mieux que des milliers de jouets,
voici le cadeau de Dieu !
Seigneur, toi qui comptes sur nous pour que Noël rayonne,
donnes-nous un coeur et un regard nouveaux !
Qu’au milieu de la fête, nous soyons capables
de Te découvrir et de T’accueillir,
Toi dont Noël nous rappelle la venue,
il y a 2000 ans, sur la terre de Palestine,
et qui chemines avec nous,
tous les jours,
jusqu’à la fin du monde !
Les peuples préhistoriques adoraient la lumière et ils avaient construits des temples qui aidaient à comprendre l'arrivée des saisons pour les premiers agriculteurs européens, les hommes du néolithique.
Dans le temple mégalithique de Newgrange en Irlande, la lumière du soleil ne rentre que le jour du solstice d'hiver, le 25 décembre.
De même dans le temple de Stonehenge en Angleterre, le soleil se lève dans une pierre percée que le 21 juin, le jour du solstice d'été.
Les Egyptiens adoraient à cette même période, le fils du Dieu Osiris, Aïon surnommé le soleil renaissant et marqué au front d'une étoile d'or.
Les Perses, aussi, fêtaient cette date du solstice d'hiver en adorant Mithra, le dieu de la vie et de la lumière qui lutte contre les ténèbres et le mal et auquel on sacrifiait un taureau.
Les Celtes faisaient de grands feux aux solstices pour lutter contre les ténèbres. Ils avaient très peur de ces périodes sombres avec le jour le plus court mais en même temps ils savaient que le soleil allait réchauffer le sol et les plantes.
Au 6e jour qui suivait le solstice d'hiver (notre 1er janvier), ils coupaient en grande cérémonie le gui sacré qui montrait que la nature revivait sur les chênes qui semblaient morts; le druide criait alors:
"o ghel an heu !" qui signifiait "que le blé lève " et qui est devenu "Au gui l'an neuf"
Les Romains fêtaient les Saturnales du 17 au 25 décembre: les hommes et les femmes portaient alors des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de cadeaux.
Un peu plus tard, sous l'empire romain, le 25 décembre devint la fête du "soleil invaincu" avec une des divinités solaires représentée par un enfant nouveau-né. L'empereur Julien portait sur ses enseignes la devise "sole invicto".
La religion chrétienne qui célébrait jusqu'au 3e siècle la naissance du Christ le 06 janvier (anciennes Saturnales romaines) décida en 354 que le 25 décembre deviendrait la date de la naissance de Jésus Christ.
Le 25 décembre est une fête qui mélange de nombreuses croyances très anciennes avant de devenir une des dates importantes du calendrier chrétien.
Longtemps les Chrétiens d'Orient gardèrent la date du 6 janvier comme la date de la naissance de leur dieu en qualifiant le 25 décembre de fête païenne.
Dans les années 1600, les fêtes de Noël furent interdites par les puritains anglais et écossais.
Le Père Noël dérange encore:
En 1951, son effigie a été brûlé sur le parvis d'une église à la demande de l'évêché.
Le cardinal Roques, archevêque de Rennes à la même époque dénonçait les "invraisemblables stupidités d'un imaginaire chiffonnier, dénommé père Noël"
Dans le temple mégalithique de Newgrange en Irlande, la lumière du soleil ne rentre que le jour du solstice d'hiver, le 25 décembre.
De même dans le temple de Stonehenge en Angleterre, le soleil se lève dans une pierre percée que le 21 juin, le jour du solstice d'été.
Les Egyptiens adoraient à cette même période, le fils du Dieu Osiris, Aïon surnommé le soleil renaissant et marqué au front d'une étoile d'or.
Les Perses, aussi, fêtaient cette date du solstice d'hiver en adorant Mithra, le dieu de la vie et de la lumière qui lutte contre les ténèbres et le mal et auquel on sacrifiait un taureau.
Les Celtes faisaient de grands feux aux solstices pour lutter contre les ténèbres. Ils avaient très peur de ces périodes sombres avec le jour le plus court mais en même temps ils savaient que le soleil allait réchauffer le sol et les plantes.
Au 6e jour qui suivait le solstice d'hiver (notre 1er janvier), ils coupaient en grande cérémonie le gui sacré qui montrait que la nature revivait sur les chênes qui semblaient morts; le druide criait alors:
"o ghel an heu !" qui signifiait "que le blé lève " et qui est devenu "Au gui l'an neuf"
Les Romains fêtaient les Saturnales du 17 au 25 décembre: les hommes et les femmes portaient alors des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de cadeaux.
Un peu plus tard, sous l'empire romain, le 25 décembre devint la fête du "soleil invaincu" avec une des divinités solaires représentée par un enfant nouveau-né. L'empereur Julien portait sur ses enseignes la devise "sole invicto".
La religion chrétienne qui célébrait jusqu'au 3e siècle la naissance du Christ le 06 janvier (anciennes Saturnales romaines) décida en 354 que le 25 décembre deviendrait la date de la naissance de Jésus Christ.
Le 25 décembre est une fête qui mélange de nombreuses croyances très anciennes avant de devenir une des dates importantes du calendrier chrétien.
Longtemps les Chrétiens d'Orient gardèrent la date du 6 janvier comme la date de la naissance de leur dieu en qualifiant le 25 décembre de fête païenne.
Dans les années 1600, les fêtes de Noël furent interdites par les puritains anglais et écossais.
Le Père Noël dérange encore:
En 1951, son effigie a été brûlé sur le parvis d'une église à la demande de l'évêché.
Le cardinal Roques, archevêque de Rennes à la même époque dénonçait les "invraisemblables stupidités d'un imaginaire chiffonnier, dénommé père Noël"
Le croiriez vous, le 24 décembre 2009 Philippe Louveau, curé de Sainte-Trinité du Perreux, écrivait:
Nous ne croyons pas au père Noël
qui récompense les enfants sages et punit les méchants.
Nous croyons en Dieu, notre Père,
qui aime tous les humains et veut les sauver.
Nous ne croyons pas au divin enfant
venu « de son père apaiser le courroux ».
Nous croyons au Fils de Dieu, notre frère,
qui nous révèle le vrai visage de Dieu,
nous promet la Vie, et nous donne sa mort comme une avance.
Nous ne croyons pas au sapin et à ses guirlandes
qui trône sur nos places et dans nos maisons.
Nous croyons en l’Esprit-Saint, le consolateur
qui nous invite à devenir nous-mêmes lumière du monde.
Mieux qu’une quinzaine commerciale,
voici le moment favorable.
Mieux que des milliers de jouets,
voici le cadeau de Dieu !
Seigneur, toi qui comptes sur nous pour que Noël rayonne,
donnes-nous un coeur et un regard nouveaux !
Qu’au milieu de la fête, nous soyons capables
de Te découvrir et de T’accueillir,
Toi dont Noël nous rappelle la venue,
il y a 2000 ans, sur la terre de Palestine,
et qui chemines avec nous,
tous les jours,
jusqu’à la fin du monde !
Le Père Noël est condamné, repoussé, discuté, mais nous, les enfants, nous l'adorons parce qu'il est merveilleux
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