Zayin (prononcé /z/) est la septième lettre de l'alphabet phénicien et hébreu. Elle a donné naissance à la lettre grecque Zêta (Ζ, ζ), au Z de l'alphabet latin et à son équivalent cyrillique Ze
Le mot hébreu Zayin signifie une arme, et la forme de cette lettre évoque une épée ou un poignard.
Sa valeur numérique est 7.
Symbolisme
Zayin est une lettre de puissance et de discernement, le pouvoir du libre-arbitre accordant le choix de faire ou de ne pas faire. Zayin force à s'assumer, à se prendre en charge, il symbolise le combat intérieur, le choc des oppositions, le but à atteindre et la forteresse à conquérir. Il est la tension constante entretenu entre l'homme et ses valeurs.
Par sa septième place dans l'alphabet, il évoque le Chabbat.
Origine
La signification du symbole n'est pas très sûre, on pense parfois que les trois traits du signe schématisent une flèche. En raison de la forme de l'idéogramme, certains voient une balance, non pas en tant que symbole d'équilibre, mais dans sa fonction d'instrument permettant de comparer deux choses. L'épée tranche et sépare, la balance discerne entre deux valeurs opposées, fonction que l'on retrouve dans le symbolisme général du Zayin.
Autres interprétations
"Le nom Zayin est le nom du Saint, béni soit-Il, car dans ce mot est contenue la racine "zan", signifiant nourrir et Dieu nourrit toutes ses créatures" (Autioth de R. Akiva). Le nom 'zayin", rappelle "keli-Zayin", c'est-à-dire une "arme".
Il ne faut pas non plus négliger le fait que le mot "zinah", qui est"Zayin" au féminin, signifie "alimentation"; ceci en relation avec le verbe "zon", "nourrir".
Forme de la lettre
La forme primitive devait être une épée ou un couteau, mais ce dessin s'est réduit à deux traits, représentant la lame et la poignée, coupés par un troisième, la garde. Zayin est un Vav qui, en son sommet, s'étend dans deux directions et se retrouve couronné. Ou plus précisément, le Zayin est un Vav couronné par un Youd. Ce signe est donc un sceptre, une épée,un bijou.
Septième lettre de l'alphabet, Zayin se prononce entre les dents.
Kabbale
D'après la Qabalah, le signe Zayin est le sceptre royal doré qui, par un mouvement, appelle à se rapprocher : c'est là le sens du crochet remontant du bas, qui est aussi la lumière réfléchie, celle qui revient.
Signification
Le mot hébreu Zayin signifie une arme, et la forme de cette lettre évoque une épée ou un poignard.
Sa valeur numérique est 7.
Symbolisme
Zayin est une lettre de puissance et de discernement, le pouvoir du libre-arbitre accordant le choix de faire ou de ne pas faire. Zayin force à s'assumer, à se prendre en charge, il symbolise le combat intérieur, le choc des oppositions, le but à atteindre et la forteresse à conquérir. Il est la tension constante entretenu entre l'homme et ses valeurs.
Par sa septième place dans l'alphabet, il évoque le Chabbat.
Origine
La signification du symbole n'est pas très sûre, on pense parfois que les trois traits du signe schématisent une flèche. En raison de la forme de l'idéogramme, certains voient une balance, non pas en tant que symbole d'équilibre, mais dans sa fonction d'instrument permettant de comparer deux choses. L'épée tranche et sépare, la balance discerne entre deux valeurs opposées, fonction que l'on retrouve dans le symbolisme général du Zayin.
Autres interprétations
"Le nom Zayin est le nom du Saint, béni soit-Il, car dans ce mot est contenue la racine "zan", signifiant nourrir et Dieu nourrit toutes ses créatures" (Autioth de R. Akiva). Le nom 'zayin", rappelle "keli-Zayin", c'est-à-dire une "arme".
Il ne faut pas non plus négliger le fait que le mot "zinah", qui est"Zayin" au féminin, signifie "alimentation"; ceci en relation avec le verbe "zon", "nourrir".
Forme de la lettre
La forme primitive devait être une épée ou un couteau, mais ce dessin s'est réduit à deux traits, représentant la lame et la poignée, coupés par un troisième, la garde. Zayin est un Vav qui, en son sommet, s'étend dans deux directions et se retrouve couronné. Ou plus précisément, le Zayin est un Vav couronné par un Youd. Ce signe est donc un sceptre, une épée,un bijou.
Septième lettre de l'alphabet, Zayin se prononce entre les dents.
Kabbale
D'après la Qabalah, le signe Zayin est le sceptre royal doré qui, par un mouvement, appelle à se rapprocher : c'est là le sens du crochet remontant du bas, qui est aussi la lumière réfléchie, celle qui revient.
Signification
Les différents sens du mot "zayin" sont liés à l'armure et à la parure qui donnent comme dérivés l'épée, le couteau, l'outil, l'apparat, mais aussi le fard, le sexe et la prostitution.
Zayin est le secret de l'union du couple , celui de l'accomplissement de la sexualité, dans toute sa plénitude. Cette possibilité d'union terrestre soutient l'unité d'en haut. Elle nourrit la dualité précaire pour l'élever dans le sens de l'unité et pour éviter son écroulement dans la multiplicité.
Dans le récit de la Genèse apparaît au verset 11 du premier chapitre le mot "zéraa'", la semence, zayin-resh-a'yin: cette semence végétale nourrit l'homme. Mais la semence de l'homme peut soit concourir au projet divin d'union ou le mener vers l'Autre côté, le domaine non divin, celui des puissances démoniaques.
Associée à la lettre Hé, Zayin donne le mot "ceci", comme si on désignait du doigt la chose. De même, la splendeur est le "zohar", zayin-hé-resh, ou "ceci est la tête, la montagne": Zayin montre du doigt la lumière splendide de l'aurore qui perce l'obscurité de la nuit.
"Zman", zayin-mém-noun, est le temps, ou "ceci est la manne" ou "ceci est la question", l'interrogation: Zayin montre du doigt la création du temps par le questionnement.
Par son dessin et ses significations, la lettre Zayin résume bien la dualité de l'amour et de la crainte du divin: ces deux notions sont comprises comme un lien possible de deux lignes parallèles qui ne se rencontrent pas, lien qui est aussi la distance adéquate pour que les lignes ne se confondent pas, comme le trait diagonal du Z. La crainte et l'amour sont deux émotions essentielles à l'équilibre de l'homme, l'une, origine de la vie, l'autre, son but. La lumière incidente peut se réfléchir mais cette réflexion ne peut avoir lieu que lors de l'amorce d'un retour de l'homme, dans la possibilité d'union par l'amour.
Zayin est le secret de l'union du couple , celui de l'accomplissement de la sexualité, dans toute sa plénitude. Cette possibilité d'union terrestre soutient l'unité d'en haut. Elle nourrit la dualité précaire pour l'élever dans le sens de l'unité et pour éviter son écroulement dans la multiplicité.
Dans le récit de la Genèse apparaît au verset 11 du premier chapitre le mot "zéraa'", la semence, zayin-resh-a'yin: cette semence végétale nourrit l'homme. Mais la semence de l'homme peut soit concourir au projet divin d'union ou le mener vers l'Autre côté, le domaine non divin, celui des puissances démoniaques.
Associée à la lettre Hé, Zayin donne le mot "ceci", comme si on désignait du doigt la chose. De même, la splendeur est le "zohar", zayin-hé-resh, ou "ceci est la tête, la montagne": Zayin montre du doigt la lumière splendide de l'aurore qui perce l'obscurité de la nuit.
"Zman", zayin-mém-noun, est le temps, ou "ceci est la manne" ou "ceci est la question", l'interrogation: Zayin montre du doigt la création du temps par le questionnement.
Par son dessin et ses significations, la lettre Zayin résume bien la dualité de l'amour et de la crainte du divin: ces deux notions sont comprises comme un lien possible de deux lignes parallèles qui ne se rencontrent pas, lien qui est aussi la distance adéquate pour que les lignes ne se confondent pas, comme le trait diagonal du Z. La crainte et l'amour sont deux émotions essentielles à l'équilibre de l'homme, l'une, origine de la vie, l'autre, son but. La lumière incidente peut se réfléchir mais cette réflexion ne peut avoir lieu que lors de l'amorce d'un retour de l'homme, dans la possibilité d'union par l'amour.
Le nombre 7 que représente Zayin, est sans doute le plus important de la Bible :
•7 jours de la Création
•7 jours de la semaine
•7 terres
•7 mers
•7 cieux
•7 Palais célestes
•le jubilée après 7 fois 7 ans
•les 7 branches de la Ménorah
les •7 Patriarches d'Israël (Abraham, Isaac, Jacob, Moïse, Aaron, Joseph, David).
Le 7 est le nombre de l'accomplissement de l'espace et du temps et de la réflexion après un cycle accompli.
La valeur pleine du nom Zayin est égale à 67, ce nombre est surtout connu pour être celui du nom de la Séfirah Binah, représentant l'analyse et le discernement.
Sept est la dernière phase de la création, celle de la création du temps, à travers le shabat. Quand les eaux se sont séparées, le firmament est apparu progressivement, selon sept niveaux. D'après la Qabalah, les étincelles de lumière primordiale rémanentes ne se sont pas éteintes dans la création, grâce aux âmes des sept Justes. Les sept lampes de la ménorah, chandelier du Temple, sont à la fois chaleur et lumière, les "sept yeux qui parcourent le monde", les attributs divins de rigueur et de miséricorde.
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