Les Chakras existent ils vraiement ?
Je vais probablement en posant cette question choquer beaucoup d'entre vous; mon propos n'est pas d'apporter une réponse, mais de provoquer un questionnement, tant pour ceux qui n'en ont jamais entendu parler que pour ceux qui ont des certitudes.
Tout d'abord, ce mot ne figure pas au Larousse à ce jour; je vous propose donc d'aller voir sur Wikipedia; on y trouve :
Le Chakra (dérivé du sanskrit चक्रं (cakraṃ) qui signifie roue ou disque, prononciation phonétique "djakra", Pali: chakka; Chinois: 轮; Tibetain: khorlo; Malais: cakera) est le nom traditionnellement donné à des objets ayant la forme d'un disque, parmi lesquels le soleil. Le terme est aujourd'hui plus connu pour désigner des "centres spirituels" issus d'une conception du Kundalinî-yoga et qui pourraient être localisés dans le corps humain. Selon cette conception, il y aurait sept centres chakras principaux et des milliers de chakras secondaires. On trouve ce concept dans certaines Upanishads dites mineures composées vers le IIe siècle avant notre ère[1] et plus particulièrement dans la Yoga Chudamani Upanishad (composée entre le VIIe et Xe siècle de notre ère) et la Yoga Shikha Upanishad .
Dans l'Inde ancienne, le mot désignait un disque de métal — or, cuivre ou fer — symbolisant le pouvoir d'un râja dit Chakravarti : celui qui fait tourner la roue de la destinée des hommes, qui tient leur vie dans ses mains, mais aussi, peut-être, celui qui est à l'image de Sûrya, le soleil. Le titre de Chakravarti ou Chakravartin était donné à un souverain ayant fait le sacrifice du cheval ou ayant réalisé de grandes conquêtes.
Dans l'hindouisme, la roue représente la structure des mondes et de l'individu, « dont le moyeu est le coeur, les rayons ses facultés et les points de contact avec la jante les organes de perception et d'action ».
Le terme fut ensuite utilisé pour qualifier Bouddha et les souverains bouddhistes qui font tourner la roue de la loi ou dharmachakra-mudrâ.
On retrouve ainsi très logiquement une représentation de chakra dans l'emblème et le drapeau de l'Inde. À l'origine, devait se trouver dans la bande blanche le rouet de Gandhi, c'est-à-dire l'outil emblématique de l'auto suffisance. Il fut plus tard remplacé par le Chakra d'Ashoka, un symbole bouddhiste, sous l'influence de Bhimrao Ramji Ambedkar, le rédacteur hors-caste de la constitution indienne qui finit par se convertir au bouddhisme.
Les chakras spirituels décrits dans le Kundalinî-yoga sont représentés par des fleurs de lotus et marquent, sur le corps vital de l'homme (prânamaya-kosha), les étapes de la progression de la Kundalinî le long des nâdi (canaux), sushumna (canal central parasympathique), ida (canal sympathique gauche) et pingala (canal sympathique droit), qui relient entre eux les chakra (centres d'énergie). Les chakra sont aussi reliés par un circuit plus direct appelé merudanda. Je vais probablement en posant cette question choquer beaucoup d'entre vous; mon propos n'est pas d'apporter une réponse, mais de provoquer un questionnement, tant pour ceux qui n'en ont jamais entendu parler que pour ceux qui ont des certitudes.
Tout d'abord, ce mot ne figure pas au Larousse à ce jour; je vous propose donc d'aller voir sur Wikipedia; on y trouve :
Le Chakra (dérivé du sanskrit चक्रं (cakraṃ) qui signifie roue ou disque, prononciation phonétique "djakra", Pali: chakka; Chinois: 轮; Tibetain: khorlo; Malais: cakera) est le nom traditionnellement donné à des objets ayant la forme d'un disque, parmi lesquels le soleil. Le terme est aujourd'hui plus connu pour désigner des "centres spirituels" issus d'une conception du Kundalinî-yoga et qui pourraient être localisés dans le corps humain. Selon cette conception, il y aurait sept centres chakras principaux et des milliers de chakras secondaires. On trouve ce concept dans certaines Upanishads dites mineures composées vers le IIe siècle avant notre ère[1] et plus particulièrement dans la Yoga Chudamani Upanishad (composée entre le VIIe et Xe siècle de notre ère) et la Yoga Shikha Upanishad .
Dans l'Inde ancienne, le mot désignait un disque de métal — or, cuivre ou fer — symbolisant le pouvoir d'un râja dit Chakravarti : celui qui fait tourner la roue de la destinée des hommes, qui tient leur vie dans ses mains, mais aussi, peut-être, celui qui est à l'image de Sûrya, le soleil. Le titre de Chakravarti ou Chakravartin était donné à un souverain ayant fait le sacrifice du cheval ou ayant réalisé de grandes conquêtes.
Dans l'hindouisme, la roue représente la structure des mondes et de l'individu, « dont le moyeu est le coeur, les rayons ses facultés et les points de contact avec la jante les organes de perception et d'action ».
Le terme fut ensuite utilisé pour qualifier Bouddha et les souverains bouddhistes qui font tourner la roue de la loi ou dharmachakra-mudrâ.
On retrouve ainsi très logiquement une représentation de chakra dans l'emblème et le drapeau de l'Inde. À l'origine, devait se trouver dans la bande blanche le rouet de Gandhi, c'est-à-dire l'outil emblématique de l'auto suffisance. Il fut plus tard remplacé par le Chakra d'Ashoka, un symbole bouddhiste, sous l'influence de Bhimrao Ramji Ambedkar, le rédacteur hors-caste de la constitution indienne qui finit par se convertir au bouddhisme.
Il y aurait 7 chakras principaux; nous les donnons ci dessous avec les qualités généralement associées :
Au niveau de la fontanelle: Sahasrara Chakra: conscience collective, harmonie, union au Soi.
Au niveau du chiasme optique: Agnya (ou Ajna) Chakra: conscience sans pensées, discernement, pardon, expérience du présent.
Au niveau du chiasme optique: Agnya (ou Ajna) Chakra: conscience sans pensées, discernement, pardon, expérience du présent.
Au niveau de la gorge: Vishuddhi (ou Visudha)Chakra: communication, sens collectif, respect de soi et des autres, diplomatie et juste comportement.
Au niveau du coeur: Anahata Chakra: confiance en soi, amour, responsabilité,courage, sécurité.
Au niveau du plexus solaire: Nabhi (ou Manipuraka)Chakra: satisfaction, paix intérieure, générosité, sens du respect et de la dignité de l’Esprit.
Au niveau des reins: Swadhistan (ou Swadhistana) Chakra: attention et connaissance pure, créativité.
Au niveau du sexe: Mooladhara (ou Muladhara) Chakra: innocence et pur désir, sagesse, joie intérieure.
Les éléments associés aux 7 chakras principaux sont respectivement: Vibration/Esprit/Ether/Air/Feu/Eau/Terre
Au niveau du coeur: Anahata Chakra: confiance en soi, amour, responsabilité,courage, sécurité.
Au niveau du plexus solaire: Nabhi (ou Manipuraka)Chakra: satisfaction, paix intérieure, générosité, sens du respect et de la dignité de l’Esprit.
Au niveau des reins: Swadhistan (ou Swadhistana) Chakra: attention et connaissance pure, créativité.
Au niveau du sexe: Mooladhara (ou Muladhara) Chakra: innocence et pur désir, sagesse, joie intérieure.
Les éléments associés aux 7 chakras principaux sont respectivement: Vibration/Esprit/Ether/Air/Feu/Eau/Terre
Vision mystique des chakra [source: Wikipédia]
Les chakra sont issus d'un système de croyances philosophiques issues de l'Hindouisme. Les premiers textes qui en parlent sont écrits en sanscrit. Pour les personnes adhérant à ces croyances, ils ont une réalité physique et physiologique au même titre que d'autres organes, même si cette physique est, dans leur conception, beaucoup plus subtile. En occultisme, il est affirmé que la clairvoyance permettrait de les voir comme des centres de lumière et d'énergie.
Des chercheurs se disant « indépendants » ont cherché à confirmer l'existence de ces points et à donner une explication à leur fonctionnement (le Dr Janine Fontaine, pour n'en citer qu'un exemple français). De nombreuses personnes — des milliers selon certains — disent avoir la capacité de les toucher et/ou de les voir (voir la référence M.L. LaBonté en bibliographie) ; cela ne serait qu'une question d'entraînement et de détente.
Ceux qui examinent les chakra les décrivent comme des organes vivants. Ils auraient pour fonction la régulation de « l'énergie » entre les différentes parties du corps, et entre le corps, la terre et l'univers. Soumis aux aléas de santé de l'individu, ils présenteraient des symptômes de rigidité ou d'affaissement, d'encombrement ou de perte de vitalité. Ils communiqueraient entre eux et seraient capables de se compenser mutuellement. Réciproquement, une action « d'harmonisation énergétique » (de type acupuncture, même si celle-ci ne travaille pas directement sur les chakra) aurait des répercussions sur la santé de l'individu.
De plus, les chakra correspondraient à des plexus et à des glandes, ce qui signifie que leurs localisations auraient une fonction avérée dans la Biologie et même le Psychisme de l'individu. La Science nie une quelconque réalité subtile, traitant les glandes et les plexus comme des parties distinctes.
En ésotérisme, le manipūra-chakra serait situé au niveau du plexus solaire, il aurait donc a un rôle dans la digestion. Quant au sahasrâra-chakra, il se situerait au niveau de la Glande Pinéale, qui sécrète la mélatonine, hormone liée au sommeil. Mais en occultisme on enseigne que c'est le chakra dans sa dimension subtile qui régulerait le plexus et la glande correspondante, et donc de proche en proche régit et harmonise le Psychisme de l'humain. Si, par exemple, l'hormone de la glande pinéale est sécrétée en quantité adéquate, ce serait en conséquence d'un chakra harmonieux, et l'individu aurait alors un sommeil régénérateur.
Le scientifique dira que c'est grâce à la sécrétion de la mélatonine, l'occultiste lui dira que c'est l'ouverture du sahasrâra-chakra qui offre un sommeil régénérateur.
Sri Swami Sivananda va même plus loin dans son livre Kundalinî-yoga, où il décrit les chakra comme des centres spirituels qui peuvent être activés à 100% grâce à la montée de la Kundalinî. Chaque chakra serait dépositaire de pouvoirs secrets endormis. Le mûlâdhâra-chakra activé, permettrait au Yogi de léviter et de se purifier de tout péché. Le vishuddha-chakra activerait la clairaudience. L' âjñâ-chakra, lui, garderait en lui le pouvoir caché de clairvoyance. Enfin Sahasrâra activé fournirait la Paix Suprême, l'Union Fusionnelle avec l'Être Cosmique.
La médecine chinoise traditionnelle se réfère à un système d'énergies véhiculées par un réseau et des points, (ceux de l'acupuncture). Cependant, aucune preuve physique ou physiologique ne vient pour l'instant à l'appui de ce modèle.
Certains pensent qu'il s'agit d'une science perdue, en partie retrouvée et non encore reconnue...
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