samedi 24 décembre 2011

Joyeuses fêtes

Rajouter le Gui juste avant de servir, car le gui guérit tout......Joyeux Noël et Bonne Année à Tous !

     Voici venu le temps des fêtes ; reconnaissez vous le chef au fourneau ? C’est celui la même, qui, vêtu de blanc, muni de la serpe d’or, oeuvre durant la nuit de Saint Jean d'hiver…
« Amour, prospérité, éternité » sont les symboles associés au gui En celte, son nom signifie « guérit tout », entre autre l’épilepsie et l’hypertension.
Pendant la nuit du solstice d’hiver, la première de l’année celtique, la « nuit mère », un druide vêtu de blanc s’enfonce dans la forêt pour y cueillir le gui sacré du chêne avec une serpe d’or. Il le reçoit dans un drap de lin d’une blancheur immaculée (car il ne doit pas toucher le sol afin de conserver ses pouvoirs) tout en prophétisant « O Ghel an Heu » - traduisez « Que le blé germe ». Quelque peu déformée, cette expression aujourd’hui désuète s’était déjà transformée au Moyen âge en « Au gui l’an neuf ». Les Gaulois qui, comme chacun sait, ne craignaient qu’une seule chose, c’est que le ciel leur tombe sur la tête, attribuaient donc à cette plante, outre ses vertus médicinales, des pouvoirs magiques. Le gui chassait les mauvais esprits, purifiait les âmes, neutralisait les poisons et assurait la fécondité des troupeaux.
Autre lieu, autre légende, en Scandinavie cette fois. Le démon Loki, par jalousie, tua le dieu soleil Baldut (ou Balder) lui décochant une flèche empoisonnée avec du gui.. Preyla, déesse de l’amour, implora les dieux de redonner vie à Baldut, promettant alors d’embrasser quiconque passerait sous le gui. Evidemment, Baldut ressuscita. De cette légende naquit la coutume du baiser sous le gui, dès lors symbole de l’amour et du pardon.
Le gui « porte bonheur » que l’on vend chaque fin d’année au cœur des cités a effectivement des vertus médicinales. En herboristerie, le gui était prescrit pour soigner l’épilepsie, les désordres nerveux et la digestion. Au 19ème siècle, il entrait dans la composition de remèdes contre la coqueluche. La viscine, substance contenue dans le fruit blanc du gui, servait autrefois à faire de la glu. Plus récemment, utilisée à faible dose, elle s’avère bénéfique contre l’hypertension et les maladies cardiaques.

jeudi 16 juin 2011

jeudi 2 juin 2011

The Tree of Live

L'Arbre de Vie



Je viens de voir le film et aussi le commentaire de Robin Guillou (http://www.lechatsurmonepaule.com/)

je publie intégralement ci dessous son commentaire, qui colle exactement avec mon ressenti :

"Where were you when I laid the foundation of the earth? Tell Me, if you have understanding..."

"L’Éternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit :
Où étais-tu quand je fondais la terre et que tous les fils de Dieu lançaient des acclamations ?..."

Le film évoque une famille du Midwest dans les années 50, un père irascible et rigide qui aurait voulu être musicien, mais s'est endurci dans le "struggle for life" et l'obsession de la réussite sociale, maltraite sa femme et traite ses fils à la dure, une mère effacée et aimante, trois frères... un drame inattendu qui déclenche, comme chez Job, l'interrogation métaphysique : "Pourquoi ?"
Sur ce canevas suffisamment universel pour que chacun puisse s'y projeter, le film est une méditation sur la mort, la perte des êtres chers, le sens de la vie, la place de l'homme dans l'univers, la question du Bien et du Mal, celui que l'on subit et celui que l'on fait - "Je fais le mal que je ne voudrais pas faire et je ne fais pas le bien que je voudrais faire", murmure Jack, à l'instar de saint Augustin dans Les Confessions - l'amour, la compassion et le pardon.

Ayant vécu aux Etats-Unis dans ces années-là, vers l'âge de 10 ans, j'ai retrouvé l'atmosphère poétique, conformiste et vaguement inquiétante des banlieues résidentielles américaines, les grands espaces arborés, les rues ombragées, bordées de pavillons blancs, les bagarres, les bandes de garçons dangereusement désoeuvrés et livrés à eux-mêmes (phénomène magistralement analysé par Hannah Arendt dans La crise de l'Education), les vêtements de ces années-là : les jeans, les tee-shirt rayés et les converses, les automobiles et les vélos, le collège en briques rouges, le moralisme et la ségrégation raciale...

... Et à l'instar de Jack confronté à l'enfant grièvement brûlé à la tête dans l'incendie de sa maison, à l'homme menotté, au passant handicapé, aux noirs misérables, comme tous les enfants qui grandissent, et avec le même trouble, j'ai pris peu à peu conscience de l'existence d'un monde obscur, tapi comme un animal dangereux derrière la trame d'une tapisserie rassurante qu'il cherchait à lacérer.

Dans la première partie du film, des images à couper le souffle sur une bande-son sublime évoquent l'immensité de l'univers, les étoiles et les galaxies, la Terre vue du ciel, la puissance, la complexité et la somptuosité de la vie sous toutes ses formes, minérale, végétale et animale, de l'infiniment petit à l'infiniment grand et l'évolution de l'univers depuis le Big Bang, en passant par les dinosaures. L'homme y apparaît moins comme un aboutissement que comme un "passeur", créant dans la liberté qui lui a été laissée des impasses et des "involutions" (dans le mauvais usage de la liberté et de la parole, dans la destruction de la nature et l'asservissement du prochain) et des clairières.

Le père et la mère dans le film symbolisent deux attributs fondamentaux du divin : la Rigueur (Gevurah) et la Miséricorde (Chesed), figurés sur l'Arche d'Alliance par deux chérubins aux ailes déployées (Voir Emmanuel Lévinas, L'Au-delà du Verset) ; l'Arbre de Vie (The Tree of Life) de la Kabbale n'est pas seulement l'expression d'une conception cosmologique ou métaphysique, il est ausi une "psychagogie", une invitation à participer à l'oeuvre divine en réconciliant en nous et autour de nous les énergies dispersées et discordantes du monde crée.

La sefirah (sphère d'attribut divin ou d'énergie) qui forme une triade avec la Rigueur (ou le jugement) et la Miséricorde est Tiferet, la Beauté. Elle crée une harmonie entre ces deux pôles et fait aussi le lien entre le monde de Yetsirah (la Formation) et celui d'Assiya (l'Action). Tiferet représente la beauté de la gloire et de la lumière divines quand elles descendent vers l'humanité. Elle relie l'ego psychologique à l'ego spirituel. Tiferet est le coeur de l'arbre de vie ; elle achemine l'Esprit divin vers le bas et les aspirations spirituelles de l'humanité vers le haut. Tiferet est l'intermédiaire entre Chesed et Gevurah.

Jack ne sait pas comment participer à cette tâche. Il erre comme une âme en peine dans un univers déshumanisé. Il a réussi socialement, au-delà des rêves de son père, mais sa vie affective est totalement vide et il sent que "quelque chose ne va pas". Mais "sentir que quelque chose ne va pas" n'est pas rien. "Sentir que quelque chose ne va pas" et en souffrir, c'est invoquer la Grâce.

Jack suit les traces de son père auquel il pense (ou veut) "ressembler" le plus, mais ne prend véritablement conscience de son "manque" qu'à partir de la mort de son jeune frère. En quittant l'inhumanité de la "Tour de Babel" pour le désert, il prend le chemin de la vie et franchit la "porte étroite" au-delà de laquelle l'attendent sa mère et son père réconciliés et son frère ressuscité (mais réconciliés et ressuscités aussi en lui-même).

C'est la dernière scène du film, sur une plage immense, près de la mer (le symbolisme de l'eau et le thème de la "deuxième naissance" sont omniprésents dans le film), des milliers d'hommes et de femmes de tous âges, de toutes races et de toutes conditions déambulent sereinement, se sourient, se tiennent par la main, une scène qui fait monter les larmes aux yeux et l'espérance au coeur.

Le film n'est pas pour autant une "Théodicée" ; sans relever de la catégorie de "l'absurde" qui ne mène qu'au désespoir, la souffrance et le mal demeurent un scandale et un mystère. "Il n'y a dans le monde tant de mal et de souffrance qu'en raison de la liberté. Mais dans la liberté reposent toute la dignité du monde et toute la dignité de l'homme (Nicolas Berdiaev, l'Esprit de Dostoïevski, Stock, 1974, pg. 102).

Je ne suis pas certain que cet "OVNI cinématographique" plaira à tout le monde : trop lent, trop long, trop peu de dialogues, trop "métaphysique", trop rempli d'allusions bibliques (mais qu'y a-t-il de plus "éternellement actuel" que le Livre de Job ?), une intrigue trop mince, un propos trop ambitieux et déséquibré peut-être et sans doute fera-t-il grincer des dents les partisans d'une évolution aveugle.

Mais c'est précisément le parti-pris de l'auteur-réalisateur, Terrence Malick, d'avoir voulu suggérer que l'homme est autre chose qu'un "accident", qu'il vient de loin et que l'existence la plus humble est une histoire sainte




Genre : Drame, Science-Fiction

Réalisateur : Terrence Malick

Distribution : Brad Pitt, Sean Penn, Jessica Chastain

Scenariste : Terrence Malick

Sortie en salles : 27 mai 2011

Synopsis :

The Tree of life est l'histoire "impressioniste" d'une famille du Midwest dans les années 50. Le film suit l'aventure humaine du fils aîné, Jack, de l'innocence de l'enfance aux désillusions de l'âge adulte et évoque sa relation conflictuelle avec son père (Brad Pitt). Jack (interprété par Sean Penn à l'âge adulte) erre comme une âme en peine dans un avenir déshumanisé, cherchant des réponses aux questions sur l'origine de l'homme et le sens de la vie. Les images de Terrence Mallick suggèrent que la nature et la grâce façonnent à la fois nos vies individuelles et la création tout entière.

L’Arbre de Vie (Etz haHa'yim עץ החיים en hébreu) représente symboliquement, dans la Kabbale, les lois de l'Univers (certains auteurs le rapprochent de l'arbre de vie mentionné par la Genèse en 2:9).

L'Arbre de Vie peut être vu comme la représentation du processus de création mettant en oeuvre, tant dans le macrocosme qu'est l'Univers que dans le microcosme qu'est l'Être humain, des énergies ou puissances créatrices émanant du Créateur. La mystique de la Kabbale utilise l'Arbre de Vie pour tenter de distinguer l'Essence Infinie (En Sof) d'un Dieu Unique et Créateur, de la manière dont il a créé à partir du vide (ex nihilo) ce monde fini (Sof) qui est le nôtre.

lundi 16 mai 2011

Fête à Roclincourt

Avec le beau temps, les Trapanelles sont de sortie !



mardi 3 mai 2011

Entrelacs et lacs d'Amour










On appelle entrelacs les ornements composés de lignes mêlées, superposées, enlacées, formant des noeuds, parfois des tresses.
Toujours très décoratifs, on les trouvent dans toutes les civilisations en Orient et en Occident...
ils piquent la curiosité et donnent envie de chercher à en retrouver la construction, à en démêler les enchevêtrements.
La fascination pour les entrelacs est immédiate quand on en voit. Il faut un œil exercé pour appréhender les subtilités des motifs.



Tout simple, il y a le noeud de huit:
Que l'on retrouve sur ce tableau :

Symbole de l'infini, maillon d'une chaîne accueillante, l'Homme face à l'univers, ouvert et à l'écoute....., mais si la corde se tend, le noeud de 8 devient il un homme petit, ou un noeud très solide? La richesse du symbole ne vient elle pas de la multiplicité des lectures possibles?



Armoiries de dignitaires écclésiastiques

Les interprétations à donner aux symboles, outils et autres éléments anciens peuvent être multiples. Il en est ainsi des lacs d'amour figurant sur la chapelle Notre Dame de la Grâce à Saint-Jean-de-Belleville (73), sur la clef de voûte de l'église de Marennes (17) et sur le claveau sculpté de Tournus (21) . Si le lacs d'amour est bien une figure héraldique formée à partir d'une corde (un lacet), s'il a d'abord été employé en dehors de tout contexte de métier, compagnonnique et maçonnique, il n'en demeure pas moins qu'il figure aussi dans ces contextes. Il est possible qu'il y ait eu un phénomène d'emprunt des maçons aux compagnons, mais on peut aussi envisager l'emploi spontané et non concerté d'un symbole présent dans les images des XVIIe et XVIIIe siècle.
A titre d'exemple, on pourra remarquer comment sont noués les cordons des pénitents représentés sur une fresque du XVIIIe siècle, dans la chapelle de Sainte-Jalle (Drôme).


Fresque dans la chapelle de Sainte-Jalle (26)




Pierre Tombale d'un Maître Maçon ( Chapelle Saint Michel et Sainte Gudule à Bruxelles)


On y distingue les outils d'un maître maçon et tailleur de pierre autour de ses probables initiales en monogramme (I C) : ciseau, maillet, règle, compas, maillet, fil à plomb, truelle, équerre (triangle isocèle) et enfin cordeau. On remarquera que ce dernier est noué en 8. S'il ne constitue pas un lacs d'amour au sens propre (les deux extrémités de la corde ne resserrent que le centre), sa forme, toujours actuelle, n'aurait-elle pas pu faciliter l'adoption du lacs d'amour en tant que symbole fraternel chez les maçons ? Car il faut noter qu'aucun autre corps de métier compagnonnisé n'en a fait usage .

lundi 2 mai 2011

Muguet



Il semble que le muguet ,ou lys des vallées, plante originaire du Japon, soit présente en Europe depuis le Moyen-Age. La plante à clochettes a toujours symbolisé le printemps et les Celtes qui lui accordaient des vertus porte-bonheur.

Le 1er mai 1561, le roi Charles IX officialisa les choses : ayant reçu à cette date un brin de muguet en guise de porte-bonheur, il décida d'en offrir chaque année aux dames de la cour. La tradition était née.

La fleur est aussi celle des rencontres amoureuses. Longtemps, furent organisés en Europe des "bals du muguet". C'était d'ailleurs l'un des seuls bals de l'année où les parents n'avaient pas le droit de cité. Ce jour-là, les jeunes filles s'habillaient de blanc et les garçons ornaient leur boutonnière d'un brin de muguet.

Bon, c'est aussi la fête du Travail.......

1er mai 1886. Ce samedi à Chicago, un mouvement revendicatif pour la journée de 8 heures est lancé par les syndicats américains. Une grève, suivie par 400 000 salariés paralyse de nombreuses usines. Le mouvement se poursuit et le 4 mai, lors d'une manifestation, une bombe est jetée sur les policiers qui ripostent. Bilan : une dizaine de morts, dont 7 policiers. S'en suivra la condamnation à mort de cinq anarchistes.

20 juin 1889 : le congrès de la IIème Internationale socialiste réuni à Paris pour le centenaire de la Révolution française, décide de faire du 1er mai un jour de lutte à travers le monde avec pour objectif la journée de huit heures. Cette date fut choisie en mémoire du mouvement du 1er mai 1886 de Chicago.

Dès 1890, les manisfestants arborent un triangle rouge symbolisant leur triple revendication : 8 heures de travail, 8 heures de sommeil, 8 heures de loisirs. Cette marque est progressivement remplacée par une fleur d'églantine, puis en 1907 par un brin de muguet. Le muguet fait son grand retour...

24 avril 1941 : en pleine occupation allemande, le 1er mai est officiellement désigné comme la fête du Travail par le gouvernement de Vichy qui espérait ralier les ouvriers. Le jour devient chômé.

Avril 1947 : la mesure est reprise par le gouvernement issu de la Libération. Celui-ci fait du 1er mai un jour férié payé.

lundi 4 avril 2011

Dans La Lune

Ce que nous oyons, l'oie l'oit-elle ?

Ouï-dire (Raymond Devos)


Il y a des verbes qui se conjuguent très irrégulièrement. Par exemple, le verbe ouïr. Le verbe ouïr, au présent, ça fait J'ois... j'ois... Si au lieu de dire « j'entends », je dis « j'ois », les gens vont penser que ce que j'entends est joyeux alors que ce que j'entends peut être particulièrement triste. II faudrait préciser :

Dieu, que ce que j'ois est triste ! J'ois... Tu ois... Tu ois mon chien qui aboie le soir au fond des bois? Il oit... oyons-nous ? Vous oyez... Ils oient. C'est bête ! L'oie oit. Elle oit, l'oie ! Ce que nous oyons, l'oie l'oit-elle ? Si au lieu de dire « l'oreille », on dit « l'ouïe », alors l'ouïe de l'oie a ouï. Pour peu que l'oie appartienne à Louis • L'ouïe de l'oie de Louis a ouï. • Ah oui ? Et qu'a ouï l'ouïe de l'oie de Louis ? • Elle a ouï ce que toute oie oit... • Et qu'oit toute oie ? Toute oie oit, quand mon chien aboie le soir au fond des bois, toute oie oit, ouah ! ouah ! Qu'elle oit, l'oie ! Au passé, ça fait : J'ouïs... J'ouïs! Il n'y a vraiment pas de quoi !

dimanche 3 avril 2011

Dans la Lune

Le bon choix: atterrir ou alunir?

La lune est elle le réceptacle des germes de la renaissance cyclique, la coupe qui contient le breuvage d’immortalité : c’est pourquoi elle serait appelée soma......???

samedi 2 avril 2011

Dans La Lune

Regards


Trouver un perchoir pour pour observer,

et regarder à deux dans la même direction.

D'ou venons nous? Ou allons nous?

Certes, ni Jung, ni Freud n'ont trouvé la réponse;

Mais, Toi, Cherches et sûrement tu trouveras...

vendredi 1 avril 2011

Dans la Lune

Symbolisme lunaire de Janus : la lune est à la fois porte du ciel et porte de l’enfer.......



mercredi 30 mars 2011

Dans la Lune


Pendant trois nuits, chaque mois lunaire, la lune est comme morte, elle a disparu… puis elle reparaît et grandit en éclat. La lune est pour l’homme le symbole de ce passage de la vie à la mort et de la mort à la vie ; elle est même considérée, chez beaucoup de peuples, comme lieu de ce passage, à l’instar des lieux souterrains. C’est pourquoi de nombreuses divinités lunaires sont en même temps chthoniennes et funéraires : Mên, Perséphone, probablement Hermès… Le voyage dans la lune ou même le séjour immortel dans la lune, après la mort terrestre, sont réservés, selon certaines croyances à des privilégiés : souverains, héros, initiés, magiciens.





mardi 29 mars 2011

Dans la Lune

Astre qui croit, décroît et disparaît, dont la vie est soumise à la loi universelle du devenir, de la naissance et de la mort… la lune connaît une histoire pathétique, de même que celle de l’homme… mais sa mort n’est jamais définitive… cet éternel retour à ses formes initiales, cette périodicité sans fin font que la lune est par excellence l’astre des rythmes de la vie…













vendredi 25 mars 2011

Dans la Lune

La lune est symbole de connaissance indirecte, discursive, progressive, froide. La lune, astre de la nuit, évoque la beauté et la lumière dans l’immensité ténébreuse. Mais cette lumière n’est que le reflet de celle du soleil, et la lune est le symbole de la connaissance par reflet (connaissance théorique, conceptuelle, rationnelle )